J'ai en particulier résolu (dans mon second article)
l'analogue réel de l'équation complexe qui traduit l'existence d'une métrique
d'Einstein--Kähler dans le cas c1 > 0 en apportant une idée qui a été reprise par
Th. Aubin [J. Funct. Anal. 57:2 (1984) 143-153] et P.
Cherrier [Bull. Sc. Math. 111 (1987) 343-385], celle d'introduire une moyenne
de la fonction inconnue pour rendre l'équation de Monge-Ampère bien posée (lorsqu'on ne
lui connait pas de contrainte a priori) et localement inversible.
J'ai pu utiliser cette idée
par la suite dans divers contextes géométriques [10][14][22][32][33] et l'étendre de façon
significative dans [35].